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syndicat CGT Amcor Capsules Chalon sur Saône

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8 avril 2015

Les dernières infos

Les dernières infos
Suite à l'intervention de notre syndicat CGT, le lundi de pentecôte ainsi que le dimanche 14 juillet ne seront pas travaillés. 28 mai 2019 Mise au point à propos de la note de service du 17 avril 2019, sur l'organisation de la nouvelle période de 2X12...
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2 mars 2024

Fiche salaire AMCOR Chalon 2024

Fiche de salaire réel au 1er Janvier 2024 

Fiche salaire AMCOR Chalon 2024
10 décembre 2023

Profession de foi 2023

Profession de foi 2023
Profession de foi 2023
Profession de foi 2023
Profession de foi 2023

9 juin 2021

Publication des comptes

 

Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour l'année 2022 :

 Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2022, le 31 décembre de cette même année. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 23 juin 2023

2023_10_19_Publication_des_comptes_2022

 


 

Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour l'année 2021 :

 Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2021, le 31 décembre de cette même année. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 20 mai 2022

publication_des_comptes_2021_sign_


 

Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour l'année 2020 :

 Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2020, le 31 décembre de cette même année. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 7 mai 2021

 publication officielle des comptes annuels 2020


 Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour l'année 2019 :

 Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2019, le 31 décembre de cette même année. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 7 mai 2021

 Publication officielle des comptes annuels 2019


 Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour l'année 2018 :

 Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2018, le 31 décembre de cette même année. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 12 avril 2019

Publication officielle des comptes annuels 2018


 

 

  Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour l'année 2017 :

Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2017, le 31 décembre de cette même année. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 9 mars 2018.

Publication officielle des comptes annuels 2017


 Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour l'année 2016 :

Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2016, le 31 décembre de cette même année. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 3 fevrier 2017.

Publication officielle des comptes annuels 2016


Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour l'année 2015 :

Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2015, le 31 décembre de cette même année. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 26 fevrier 2016.

Comptes du syndicat pour l'année 2015 pdf


Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour l'année 2014 :

Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2014, le 31 décembre de cette même année. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 30 janvier 2015.

Comptes du syndicat pour l'année 2014 pdf


Adoption et publication des comptes du syndicat Amcor Flexibles Capsules Chalon sur Saône pour les années 2012 et 2013:

Le secrétaire et le trésorier du syndicat ont arrêté les comptes de l’année 2012 et de l’année 2013, le 31 décembre 2013. Ces comptes ont été présentées et adoptées lors de notre assemblée générale du 31 janvier 2014.

Comptes du syndicat pour les années 2012 et 2013 pdf

13 juin 2018

Congés d'ancienneté

Congés d’ancienneté.

  • 1 jour de congé supplémentaire de 10 ans à 15 ans d’ancienneté
  • 2 jours de congés supplémentaires de 15 ans à 20 ans d’ancienneté
  • 3 jours de congés supplémentaires de 20 ans à 30 ans d’ancienneté
  • 4 jours de congés supplémentaires de 30 ans à 35 ans d’ancienneté
  • 5 jours de congés supplémentaires au delà de 35 ans d’ancienneté

 

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7 novembre 2014

Réorganisation de la production

Compte rendu du la réunion du 31 octobre 2014, sur la réorganisation des horaires de travail de la production.

Demandes CGT, et réponses de la Direction :

Notre demande de négociation d'un avenant à notre accord RTT, plutôt qu'une décision unilatérale, est acceptée par la Direction et l'ensemble des organisations syndicales.

Définition des plannings horaires des salariés :

Planning moyen (moyenne horaire de 36h70 planning présenté aux OS) :

Ce planning doit permettre de remplacer les périodes hautes actuelles (40h00 hebdomadaires actuellement). Cette organisation prévoit le travail du samedi matin en demi équipe. D'après la Direction, cette organisation devrait permettre d'éviter les périodes hautes et d'éviter l'explosion des compteurs des salariés. Cette organisation devrait générer environ 75h00 d'avance maximum par an et par salarié (moins d'heures payées en fin de période).

Planning mini (périodes basses) :

En période basse, les samedis matin sont supprimés. Si cela ne suffit pas, le vendredi est supprimé pour ceux qui doivent travailler ce jour, et ceux qui devaient travailler le samedi matin viennent travailler le vendredi.

Planning maxi (périodes hautes) :

Travail des samedis après-midi de 13h00 à 18h00 (pour conserver les temps de repos obligatoires du week-end) (environ 5 samedis après-midi dans l'année, et par salarié si nécessaire). La CGT demande qu'en cas de période haute, il soit préféré des équipes complètes les samedis matin, plutôt que le travail du samedi après-midi.

Organisation du travail quand le vendredi tombe un jour férié :

Pas de travail du samedi dans ce cas, sauf dans le cas d'une période haute (dans ce cas la Direction propose de voir si les salariés préfèrent travailler le vendredi matin même si férié ?).

Définition du nombre maximum de postes de week-end par salarié dans l'année :

Nombre de postes samedi matin, samedi après-midi.

La CGT demande 8 postes du samedi matin par an et par salarié maximum, le reste au volontariat. Les samedis après-midi éventuels doivent être, eux aussi, au volontariat. Pour la Direction, la nouvelle organisation devrait représenter de 13 à 14 postes de week-end par salarié et par an (8 à 10 postes de samedi matin par salarié, et par an, et de 5 à 6 postes de samedi après-midi).

Définition de ce qui relève du volontariat et rémunération :

Au-delà du nombre de samedis matin imposé à chaque salarié :

c'est du volontariat

Modalité de rémunération du volontariat et prise en compte sur les compteurs des salariés :

En cas de volontariat, les majorations du samedi sont rémunérées chaque mois. Les heures effectuées sont ajoutées au compteur du salarié, mais peuvent êtres rémunérées, (chaque mois?) en plus des heures normales.

Compensation, si perte de salaire :

Si cette organisation du travail se traduit par moins de postes de nuit dans l'année, et alors que les salariés concernés auront à supporter de nouvelles contraintes (travail du week-end), il faut prévoir une compensation financière :

Pour la Direction, le fait d'embaucher du personnel pour augmenter le nombre de salariés de production va se traduire par moins d'heures de travail pour chacun, et donc moins de jours travaillés et donc moins de majorations. Cette perte de salaire est donc normale...

Revoir les majorations du week-end :

La CGT a demandé 30% pour le samedi matin et 40% pour le samedi après-midi. La Direction propose 23% pour le samedi matin et 34,5% pour le samedi après-midi.

Modalités de prise de jours RTT, en plus de ceux positionnés dans le planning des salariés :

Demande CGT : au choix du salarié, et sur un jour travaillé, quel que soit le jour de la semaine. La Direction estime que la nouvelle organisation du travail (36h70 hebdo) va générer environ 6 NT par an. Elle propose que 3 de ces NT soient à la disposition du salarié, hors poste de week-end (comme dans notre accord RTT), et 3 à la disposition de la Direction.

Les salariés de 55 ans doivent être prioritaires pour poser ces jours de RTT :

OK, si le salarié a fait sa demande en même temps que les autres (si deux demandes en même temps, le salarié de plus de 55 ans sera prioritaire).

Divers:

Demande d'engagement sur le nombre d’embauches :

OK, mais à condition que la situation économique de l'établissement se maintienne.

Demande d'engagement sur la part du budget formation consacré au développement de la polyvalence, et sur combien d'années.

La Direction va nous communiquer ses prévisions en matière de formation à la polyvalence.

Les postes en 2X8 et en journée qui se libèrent dans l’établissement seront proposés en priorité aux salariés de 50 ans et plus, travaillant en 3X8. Si nécessaire, une formation sera proposée aux salariés concernés.

OK, si le poste qui se libère n'est pas supprimé.

Au regard de la moyenne d’âge des salariés de l’établissement, nous demandons que la pénibilité au travail soit prise en compte dans l’organisation du travail. Le dispositif prévu dans notre accord RTT, permettant aux salariés postés travaillant en 2X8 de bénéficier d’un horaire de travail de 32h00 de présence, doit être étendu à l’ensemble des rythmes de travail de l’établissement (3X8, journée et journée postée. A partir de 50 ans pour les salariés travaillant en 3X8, et à partir de 55 ans pour les autres.

La Direction refuse d'aborder ce point dans le cadre de cette négociation.

La commission de suivi de l'accord se réunira deux fois par an pour faire un bilan du fonctionnement de l’organisation du travail de l’établissement. Une fois en cours de période (novembre) et à la fin de la période (mai).

OK pour la Direction

Avant chaque nouvelle période d’annualisation (au mois de mars au plus tard) la Direction présente au comité d’établissement le planning prévisionnel pour la période à venir.

OK pour la Direction

A la demande du syndicat CGC, le délai de prévenance passera à 10 jours en cas de passage en période haute (au lieu de 8 jours actuellement), mais reste de 8 jours en cas de passage en période basse et normale. 


Demande de négociation d'un avenant à l’accord relatif à l’aménagement et à la réduction du temps de travail de l’établissement de Chalon sur Saône du 20 juillet 2000.

23 octobre 2014

Voici les points que notre organisation syndicale CGT souhaite aborder dans le cadre de la négociation d'un avenant relatif au projet de réorganisation des horaires de travail de la Production :

Demande de n'égociation pdf


Compte rendu des réunions du 17 octobre 2014

Organisation de l’îlot 4 pour le remplacement de l’incinérateur.

  • Suite aux recommandations des élus CGT, le travail du samedi après-midi après 19h00 sera effectué au volontariat, comme le travail du lundi matin de 0h00 à 5h00.
  • Chaque salarié devra effectuer 3 postes du samedi (sur une durée de 6 semaines).
  • La Direction accordera une prime exceptionnelle de 200 euros à chaque salarié effectuant les trois postes prévus du samedi appliquant le non-stop.
  • Mise en place à partir du 12 novembre.
  • Bien qu’ayant largement contribué à l’amélioration (pour les salariés concernés) du projet de la Direction (pas de travail du dimanche soir, Travail au volontariat pour une partie du projet, et obtention d’une prime), les 3 élus Cgt au CE ont voté contre ce projet.

Réorganisation de la production.

  • Suite à la demande de la Cgt, la Direction semble accepter de continuer les discussions de travail, mais dans le cadre d'un avenant à notre accord RTT (nous aurons la confirmation la semaine prochaine).
  • La Cgt communiquera ses propositions (revendications) à la Direction le mercredi 22 octobre
  • Le planning présenté aux organisations syndicales prend en compte nos demandes. NT majoritairement les lundis et vendredis (sur un cycle de 12 semaines, 3 NT le lundi, 1 NT le mercredi et 3 NT le vendredi. Pas de NT en milieu de semaine pour la semaine de nuit.
  • Le planning de la Direction prévoit 2 postes du samedi toute les 12 semaines.
  • Une nouvelle réunion aura lieu fin octobre.

Réorganisation de la production

Jeudi 16 octobre 2014

Après nous avoir présenté, le mardi 30 septembre, son projet de réorganisation de la production la Direction souhaite que les organisations syndicales fassent des propositions pour faciliter sa mise en place.

Disons le tout net, nous ne sommes pas d'accord avec la remise en place du travail du week-end, alors qu'il existe d'autres moyens pour augmenter la capacité de production de notre établissement.

  • Embauche du personnel nécessaire pour faire tourner l’ensemble des machines en semaine, ce qui est loin d'être le cas actuellement. 
  • Investissements permettant la remise en état et l’achat de machines pour absorber des volumes supplémentaires (la société dispose largement de l'argent nécessaire pour effectuer ces investissements). Elle dispose aussi de nombreuses aides de l’état (Crédit Impôt Recherche, CICE, etc...).

Cela dit, il ne semble que rien n'interdit notre à Directeur de remettre en place ce travail du week-end, puisque celui-ci est prévu par notre accord RTT de juillet 2000. A moins d'un mouvement de grande ampleur...

Sachant cela, notre organisation syndicale compte prendre ses responsabilité et entend bien défendre l’intérêt des salariés en faisant des propositions, quant à la mise en place de ce projet. Mais si nous sommes prêt au dialogue social, il faudra que cette volonté soit enfin partagée par notre Directeur.

En effet, il est hors de question pour nous, de venir discuter d'un sujet aussi lourd de conséquences pour les conditions de vie et de travail des salariés si ces discussions n'aboutissent à rien d'autre qu'à des promesses verbales. Si la Direction souhaite travailler avec nous, elle doit accepter des discussions honnêtes et loyales, qui devront se conclure par un avenant à notre accord RTT, précisant les modalités de mise en place de cette nouvelle organisation.

Puisque dans les ateliers, notre Directeur promet embauches et investissements, pourquoi ne pas s'engager par écrit, si ces promesses ne sont pas que du vent.

Mais répétons le, si notre organisation syndicale est prête au dialogue, il est indispensable que notre Directeur adopte un autre comportement avec les partenaires sociaux. Ce vendredi 17 octobre, Il faut que les discussions reprennent serieusement et honnêtement.

  • Notre Directeur doit communiquer aux organisations syndicales les copies des documents présentés lors de cette réunion du 30 septembre (Elle a refusé de le faire au prétexte que ce projet n'est pas encore finalisé. Se qui ne l'a pas empêché de débuter le jour même, des réunions d'information en direction des salariés, et de leur dévoiler son projet). 
  • Il est à noter que le comité d'établissement n'étant pas encore officiellement informé de ce projet, ces réunions d'information organisées par notre Directeur constituent un délit d'entrave au fonctionnement du comité. Cela démontre, une fois de plus, le manque de sérieux de notre Direction, alors que l'avenir de notre activité mérite mieux que cela.

Ce projet doit être rediscuté

Il faut en prévoir les modalités de mise en place, le personnel concerné, revoir les contreparties a cette nouvelle organisation des rythmes de travail (majorations, nombre de postes de week-end, prise de NT, etc..).

Pour que la Cgt s'engage dans des discussions avec la Direction, celles-ci devront se conclure par la rédaction d'un avenant à notre accord RTT, seule pour faire respecter son contenu.

Si notre Directeur refuse de s'engager par écrit, il devra assumer seule sa décision de passer en force. Dans ce cas, les élus du comité d'établissement feront le nécessaire pour que l'information et la consultation du CE se déroule dans les règles (information et avis du CHSCT, avec expertise éventuelle) et pour ces avis soient pris en compte.

Si nous en arrivions là, il est évident que notre organisation syndicale en tirera toutes les conséquences et sera amenée, dans ce cas, à revoir sa contribution au dialogue social de l'établissement et à la marche générale de l'établissement.

14 mai 2014

Journée d'action du vendredi 30 mai 2014

La CGT appelle l’ensemble des salariés de l’établissement à effectuer 8h00 de grève le vendredi 30 mai 2014.

Inutile ?C’est ce que l’on ressent  lorsque  l’on quitte les réunions mensuelles obligatoires avec notre Direction (CE et DP). C'est à la fois fatiguant et frustrant d’aborder les mêmes questions et de savoir, à l’avance, que notre interlocuteur n’a pas la moindre intention de répondre à nos revendications, ni aux problèmes que nous soulevons lors de ces réunions. Nous savons que, malheureusement, nous ressortirons de la salle sans réponses, ni solutions

Que ce soit en matière de pénibilité au travail, de prise en compte de la moyenne d’âge des salariés de l’établissement dans l’organisation du travail, du manque de respect d’une partie de l’encadrement vis à vis de ces salariés âgés, de grille de salaires, d’évolution de carrière, d’organisation du travail, de formation et d’égalité professionnelle, etc...
Dans le meilleur des cas, la Direction de l’établissement nous conseille d’évoquer nos problèmes à Paris :

  • « Messieurs les élus, voyez avec la Direction Générale lors des réunions de Négociations Annuelles Obligatoires ».

Pour ce qui est des problèmes locaux, la réponse est presque toujours la même :

  • « Nous n’avons rien de nouveau à vous proposer, nous n'avons pas de budget alloué pour cette action, etc... ».

Mais miraculeusement, s’il n’y a pas d’argent pour l’amélioration des conditions de travail et pour l’aménagement des fins de carrières, la Direction n’en manque pas pour financer le départ des salariés les plus usés par de nombreuses années de travail en poste, avec des mesures qui ne sont d’ailleurs  de conséquences pour les caisses sociales.

OUI, ces salariés fracassés et cassés de partout (autant physiquement que moralement) aspirent à un repos bien mérité. Notre organisation syndicale demande que cette question des fins de carrière puisse enfin se régler de manière un peu plus morale pour l’entreprise, et de manière plus respectueuse pour les salariés. Nous pensons en effet qu'il vaut mieux être en activité et en bonne santé que de rester cloîtré fracassé chez soi.

Pour cela, nous devons interpeller la Direction pour qu'elle agisse en amont, et qu’elle accepte la mise en place de solutions permettant l’amélioration des conditions de vie et de travail des salariés, des embauches en CDI, une grille de salaires cohérente et de vraies possibilités d’évolutions de carrières et de formations qualifiantes.

Les bons résultats de notre activité doivent permettent des avancées et des réponses positives à nos revendications. Celles-ci sont justes et nécessaires pour tous. Devant l’obstination de la Direction à refuser tous débats avec les partenaires sociaux, l'action devient inévitable.

Notre organisation syndicale CGT a pris la décision d’une journée de mobilisation, car nous avons besoin de la mobilisation de chacun pour débloquer cette situation.

2 mai 2014

Soutien à Jean-claude Delattre

C’est avec satisfaction que nous avons appris, fin avril, que le licenciement de Jean Claude Delattre a été refusé par l’inspection du travail. Nous-nous réjouissons que les manœuvres de Direction générale, et de celle de Mareuil pour licencier un Délégué Syndical aient échoué. Il y a encore une justice...

Soutien à Jean-Claude Delattre, Délégué Syndical Force Ouvrière d'Amcor Flexibles Capsules Mareuil.

Nous savons tous l’importance que le groupe Amcor porte à la sécurité au travail. Nous savons aussi que dans nos établissements, il arrive parfois que l’encadrement pousse les salariés à enfreindre les règles imposées par le groupe, y compris en matière de respect des différentes habilitations et autorisations.

Nous sommes donc étonnés qu’un salarié (Délégué syndical, comme par hasard) fasse les frais d’une décision d’application stricte d’un règlement qui n’est souvent suivi que quand la situation le permet.

Pour dire les choses simplement, nous avons beaucoup de mal à croire que c’est uniquement le non-respect d’une consigne de sécurité qui a motivé la Direction de Mareuil à envisager une sanction aussi radicale que le licenciement du salarié concerné.

Nous ne sommes pas dupes et savons très bien que cette manœuvre ne vise, en fait, qu’à empêcher un Délégué syndical de faire son travail de revendication et de protection des salariés. Ce coup bas est une première dans notre activité et n’est  pas flatteuse pour les personnes qui en sont responsables.

Dans ces conditions, nous estimons qu’il est nécessaire d’alerter l’ensemble des salariés sur les risques qu’ils prennent en ne respectant pas les consignes de sécurité, même s’ils y sont invités par leur hiérarchie. Car nous le savons, en cas de problème, les sanctions ne seront pas les mêmes pour tous. Le danger étant réel, nous invitons les salariés à être vigilants et à ne pas hésiter à utiliser leur droit de retrait si cela s’avère nécessaire.

En ce qui concerne la procédure de licenciement de notre collègue Jean-Claude Delattre, délégué syndical Force Ouvrière de l’établissement d’Amcor Flexibles Capsules de Mareuil, la Direction a sollicité l’inspection du travail pour avoir l’autorisation de le licencier. Cette dernière doit rendre sa réponse début mai.

En attendant une issue que nous espérons favorable à Jean Claude, notre organisation syndicale CGT de Chalon sur Saône vous informe qu’elle lui apporte un soutien inconditionnel et qu’elle espère que c’est la justice qui triomphera dans cette pitoyable affaire.

 

10 mars 2014

Négociations Annuelles Obligatoires 2014

Accord d'entreprise sur les négociations annuelles obligatoire d'Amcor Flexibles Capsules France pour l'année 2014:

Télécharger l'accord: Accord NAO 2014


Négociations salariales 2014

En démarrant ces négociations, nous savions que le contexte n’était franchement pas favorable à des discussions honnêtes, constructives et apaisées avec la Direction générale. Le manque d’engagement de celle-ci lors des négociations sur la pénibilité au travail et les contrats de génération ne laissait présager que peu d’espoirs pour la suite.

Avant de commencer ces négociations, les organisations syndicales CGT, CFDT et FO ont d’ailleurs dénoncé, par une déclaration commune, le manque de loyauté de la Direction quant à son engagement dans ces discussions, depuis notre rachat par le groupe Amcor.

Nous avons tout de même souhaité abordé ces négociations annuelles obligatoires 2014 avec l’espoir de traiter l’ensemble des thèmes prévus par le Code du travail.

  • Les salaires effectifsla durée effective du travail et l’organisation du temps de travail, la pénibilité au travail et la gestion des fins de carrières, l’égalité professionnelle femme/homme, etc....

Nous avions des revendications concernant l’ensemble de ces sujets de discussions.

Nous n’avons malheureusement pu que constater l’impossibilité d’étudier d’autres thèmes que les augmentations de salaires et la participation de l’employeur à la mutuelle des salariés. Encore une fois, la Direction limite unilatéralement ces discussions aux seules négociations sur les rémunérations, malgré nos protestations et la législation en vigueur.

Il est d’ailleurs regrettable que cette augmentation de la part patronale pour la mutuelle ne serve en réalité qu’à compenser une augmentation de cotisation qui aurait du être évitée, en partie, si notre accord d’entreprise avait été respecté par la Direction.

Dans ces conditions, notre organisation a pris la décision de ne pas signer d’accord en dessous de 1,5% d’augmentation générale. Comme nous vous l’avons déjà indiqué, les résultats de notre activité permettent largement ce niveau d’augmentation, sans compter les 4% de masse salariale (CICE) dont notre Direction va profiter grâce au gouvernement actuel.

Notre constat est sans appel. Les résultats de ces négociations ne sont pas à la hauteur de nos attentes et l’ensemble des syndicats, hors CGC, les ont refusés. La Direction générale a fait le choix délibéré d’appliquer les mesures qu’elle avait présentées au début de ces négociations. Rien ne l’empêchait de faire mieux, mais elle en profite pour essayer de discréditer les organisations syndicales vis-à-vis des salariés. 

Nous espérons que vous ne vous laisserez pas manipuler par cette grossière tentative de la Direction de renverser la situation et de se dégager ainsi de ses responsabilités.

Notre organisation syndicale CGT ne peut se satisfaire de la manière dont se terminent ces négociations et estime qu’elles doivent reprendre au plus vite. La Direction doit accepter de proposer une nouvelle date de discussions. En effet, tant qu’aucun constat de désaccord n’aura été signé, les organisations syndicales peuvent demander la réouverture des discussions.

Dans le but de vous informer de la suite de ces négociations, la CGT organisera des réunions d’information syndicale le jeudi 13 mars.


Les organisations syndicales alertent les salariés sur les risques de licenciement au moindre écart aux règles de sécurités. Lire le tract FO, CGT et CFDT du 21 février à Paris.

Tract intersyndicale


Négociations sans surprises...

Compte-rendu de la réunion des négociations annuelles obligatoires du vendredi 21 février 2014 

Insécurité pour les salariés 

En première partie de réunion, les représentants des organisations syndicales (Cgt, Cfdt et Fo) ont fait connaître leur opposition quant au risque de licenciement d’un salarié de Mareuil, délégué syndical de Force ouvrière (déjà en procès aux prudhommes avec sa Direction). Son seul «crime» est d’avoir utilisé une machine dont l’utilisation n’est autorisée, en principe, qu’à un certain nombre de personnes habilitées. Si, jusqu’à présent, un fait similaire n’aurait entraîné qu’un avertissement, il faut savoir que, maintenant, chaque manquement aux règles de sécurité risque de se terminer par une sanction lourde. Nous avons fermement contesté cette justice à deux vitesses, ainsi que cette énorme hypocrisie, car nous connaissons tous de nombreux exemples de responsables n’ayant pas hésité à  faire contourner les consignes de sécurité par leurs salariés pour livrer une commande plus rapidement.

Un tract commun sera affiché dans les établissements.

Mutuelle 

Là aussi, les organisations syndicales ont dénoncé le non-respect de l’accord «mutuelle d’entreprise» qui aurait dû permettre de les réunir afin de rechercher toutes les solutions pour éviter la trop importante hausse de cette année. Le syndicat CGT de la Société Capsules pense qu’il s’agit là d’une véritable arnaque, et regrette la signature de cet accord. Une réunion est quand même prévue le 10 mars  pour essayer de limiter la casse pour l’année prochaine.

NAO : en fin de réunion, la Direction nous laisse le choix entre deux propositions 

Première proposition :

  • Augmentation générale de 1,1% (AI de 0,6%)
  • Participation de l’employeur à la mutuelle de 7,50 €
  • Augmentation de la majoration de nuit des salariés de St Seurin de 1%

Deuxième proposition :

  • Augmentation générale de 1 % (AI de 0,6%)
  • Participation de l’employeur à la mutuelle de 7 €
  • Augmentation de la majoration de nuit des salariés de St Seurin de 1%
  • Chèques vacances : Participation de l’employeur, à hauteur de 25 € par salarié.

Seul le syndicat CFE-CGC a fait connaitre son accord pour une signature à partir de 1% d’augmentation générale.

Les autres organisations ont annoncé qu’elles ne signeront pas les propositions de la Direction.

Pour la CGT, ces propositions sont trop éloignées de la réalité. Car même si l’INSEE a annoncé une inflation à 0,6% pour l’année 2013, nous savons tous que la vérité en matière d’augmentation du coût de la vie va bien au-delà de ce chiffre « officiel ». Lors de ces négociations, la Direction n’a cessé de marteler qu’il fallait être raisonnable et ne pas « hypothéquer l’avenir » avec des mesures salariales qui pourraient mettre en péril les résultats de notre activité. Là encore, connaissant la vérité sur les résultats du groupe Amcor et sur ceux de notre activité Capsules, nous étions en droit d’attendre d’autres propositions. Les actionnaires du groupe en savent quelque chose puisque, cette année, ils en ont largement plus profité que d’habitude.


Compte rendu de la réunion de négociation du 5 février 2014:

En début de séance, les organisations syndicales FO, CGT et CFDT lisent une déclaration à Eric Vicente (DRH de la société), pour protester contre le manque de dialogue social ainsi que le non respect des accords, depuis sa présence dans l’entreprise.

Le syndicat CGT de Chalon lit une déclaration concernant le manque de dialogue social dans notre établissement,  les problèmes de pénibilité au travail, de conditions de travail, d’effectifs et d’organisation du travail et exige un engagement de la Direction générale, pour débloquer cette situation.

Déclaration cgt Chalon pdf

Une discussion a lieu ensuite sur l’augmentation de la mutuelle d’entreprise, sur le fait que celle-ci a été appliquée sans information des partenaires sociaux et que l’accord d’entreprise concernant cette mutuelle n’a donc pas été respectée.

Propositions salariales :

  • La Direction propose en fin de séance une augmentation générale de 0,85 %, alors qu’elle avait proposé 0,70 % au mois de janvier et 0,75 % en début de séance ce 5 février.
  • 1 % d’augmentation de la majoration de nuit pour les salariés de St Seurin.
  • 7 euros de participation supplémentaire pour la mutuelle, au lieu de 5,50 Euros à la dernière réunion.

Une quatrième réunion était programmée mais Eric Vicente, découvrant que les salariés de Chalon sont en grève, rappelle son refus de négocier sous la contrainte et n’accepte donc pas de fixer, pour l’instant, de date.

La délégation CGT de Chalon rappelle le ridicule de cette position, puisque lors des négociations sur la pénibilité au travail et sur les contrats de génération, il n’y a pas eu de réelles négociations, alors qu’il n’y a pourtant pas eu de mouvement de grève dans les établissements.


Journée de mobilisation du jeudi 23 janvier

Lors des réunions d’information syndicale qui se sont déroulées  ce mardi 21 janvier, nous avons pris, avec l’ensemble des salariés présents, la décision de mener une action de protestation, le jour de la présence dans notre établissement, de Nicolas FREYNET, Directeur Général de notre activité capsules.

Cette mobilisation a pour objectif d’exprimer notre mécontentement et notre désaccord, quant aux propositions faites  aux organisations syndicales, lors de la réunion de négociation du 16 janvier à Paris.

En effet, nous estimons qu’au regard des bons résultats de notre activité et des efforts effectués par l’ensemble des salariés de l’établissement, la Direction doit s’engager sur des propositions plus en adéquation avec ces résultats et la manière dont ceux-ci ont été réalisés.

Nous tenons aussi à protester contre la dégradation de nos conditions de travail, liée à la non prise en compte de la pénibilité, malgré la moyenne d’âge élevée des salariés de notre site, à l’ambiance déplorable que certains responsables font subir à leurs salariés, et à la trop mauvaise gestion de nos compteurs horaires, cela, pour la troisième année consécutive.

Nous avons alerté de nombreuses fois la Direction de l’établissement sur l’urgence et la nécessité d’apporter des solutions à l’ensemble de ces questions. Nous pensions même que nos demandes rencontreraient l’écoute indispensable pour régler ces problèmes en bonne intelligence. Malheureusement, nos demandes sont restées sans réponses.

Nous demandons donc à la Direction générale d’Amcor Flexibles Capsules de reconsidérer ses propositions salariales, et de faire le nécessaire pour débloquer la situation de l’organisation du travail de notre établissement.


Nous appelons l’ensemble des salariés de l’établissement, à un mouvement de grève de 1h30 ce jeudi 23 janvier.

  • De 10h30 à 12h00 pour le poste du matin et personnel en journée
  • De 15h30 à 17h00 pour le poste d’après-midi
  • De   3h30 à  5h00 pour le poste de nuit

 Négociations Annuelles Obligatoires 2014

La 2ème réunion des négociations annuelles obligatoires d’Amcor Flexibles Capsules a eu lieu ce jeudi 16 janvier 2014 à Paris.

Pour la Directionetmalgré les bons résultats du groupe Amcor et de notre activité,il faut faire preuve de  prudence et d’anticipation. La conjoncture économique est loin d’être mirobolante, il ne faut donc pas hypothéquer l’avenir. En matière de politique salariale, il faut écarter tout ce qui pourrait impacter la compétitivité de notre activité.

Malgré tout,la Direction propose cette année, « l’inflation pour tous » (l’inflation 2013 est de 0,6 %), et annonce 0,7 % d’augmentation générale, 0,65 % d’augmentations individuelles (dont 0,2 % pour les cas particuliers liés à l’égalité hommes/femmes) et 5,5 euros de participation supplémentaire pour la mutuelle.

Pour faire un premier pas dans le sens d’une harmonisation des majorations de nuit dans nos sites Capsules (15% à St Seurin, 30% à Mareuil et 40% à Chalon),  la Direction propose  une augmentation de 1 % pour les majorations de nuit des salariés de l’établissement de St Seurin.

La prochaine réunion est programmée le jeudi 30 janvier.

Pour préparer cette prochaine réunion, nous avons besoin de connaître votre avis sur les propositions de la Direction générale. Nous devons aussi nous organiser pour lutter contre la dégradation de nos conditions de travail, liée au manque de personnel de notre établissement, ainsi que contre la dérive de nos compteurs horaire.

Dans ce but, nous organisons une réunion d’information syndicale ce mardi 21 janvier 2014 dans le réfectoire de l’établissement.

  • De 12h00 à 13h00 pour le poste du matin
  • De 13h00 à 14h00 pour le poste d’après-midi ainsi que le personnel en journée
  • De 21h00 à 22h00 pour le poste de nuit. 

 


Négociations annuelles obligatoires 2014.

tirelire

Voici les revendications CGT, présentées à la Direction générale, lors de la réunion du 6 décembre 2013 à Paris. 

Négociations annuelles obligatoires 2014 pdf

24 septembre 2013

Négociations sur la revalorisation de la prime de transport

 

Prime de transport

 

Chalon sur Saône, le 10 décembre 2013

 

Voir le projet d'accord de la Direction: 

 

Projet d'accord prime de transport pdf

 

Comme nous l’avions indiqué avant la dernière réunion de renégociation de notre prime de transport, le 5 novembre 2013, notre organisation syndicale espérait que ces discussions aboutissent à un accord qui permette enfin une évolution régulière de cette prime. Nous avions aussi indiqué que plus la règle de revalorisation serait simple et facile à mettre en place, plus elle aurait de chance de fonctionner en satisfaisant le plus grand nombre.

 

A l’issue des discussions avec la Direction, nous estimons que les trois points suivants vont dans le sens d’une réelle amélioration :

 

  • Choix d’un indice de référence (INSEE) pour une revalorisation annuelle au 1er janvier de chaque année.
  • Prise en compte de l’augmentation de l’abonnement des transports urbains de Chalon, en 2012, par une compensation d’une partie de cette augmentation.
  • Abandon, par la Direction, de la modification de la règle d’évolution de la prime pour les salariés en journée.

 

Notre organisation syndicale estime que l’avancée des discussions, sur ces trois points, aurait effectivement permis une amélioration substantielle de l’évolution  de notre prime de transport.

 

Malheureusement, la négociation n’a pas évolué sur la proposition de la Direction d’intégrer les évolutions des primes de transport des établissements de Mareuil et St Seurin, dans le calcul de progression de notre prime, puisqu’elle refuse de supprimer ce point de son projet d’accord.

 

Lors des réunions de négociation, nous avions exprimé notre refus d’intégrer ce point dans un accord, pour les raisons suivantes :

 

  • Le périmètre de cette négociation doit se limiter à notre établissement.
  • Les primes de transport de Mareuil et de St Seurin, étant revalorisées lors des négociations annuelles obligatoires, Il n’est pas concevable d’accepter d’entériner, à Chalon, des résultats de négociations que  nous refusons de signer à Paris.
  • Si la Direction générale souhaite une négociation d’entreprise concernant la prime de transport des trois sites Français de notre activité, elle doit le proposer aux organisations syndicales à ce niveau.
  • Il n’existe, pour l’instant, aucun engagement de la Direction générale sur des discussions futures concernant, à terme, un  accord d’entreprise.
  • En tout état de cause, nous refusons de modérer l’évolution de notre prime, en attendant  que les autres sites nous « rattrapent », en vue d’une harmonisation.

 

Dans ces conditions, nous vous informons que nous avons pris la décision de ne pas  signer le projet d’accord de la Direction, dans sa version actuelle.

 

 


Négociation de la Prime de transport des salariés de l’établissement :

Propositions CGT pour la réunion de négociation du mardi 5 novembre 2013

Monsieur le Directeur,

Voici nos propositions concernant la négociation des modalités d’évolution de la prime de transport des salariés de l’établissement de Chalon,  pour la prochaine réunion de négociation  du 5 novembre 2013.

  • Notre organisation syndicale prend note de votre proposition de revaloriser, chaque année, notre prime de transport en prenant en compte l’indice INSEE. Nous renouvelons notre demande afin que l’indice utilisé soit tout simplement celui de l’évolution globale des prix à la consommation.
  • A propos de vos propositions de prise en compte des établissements de Mareuil et St Seurin, dans cette négociation, nous réaffirmons que le périmètre des discussions doit se limiter à notre établissement. Si la Direction générale souhaite s’immiscer dans ces négociations, elle doit le faire au bon niveau, c’est-à-dire dans le cadre d’une négociation d’entreprise concernant l’ensemble des établissements français de notre activité. Nous vous informons donc, qu’en ce qui concerne la CGT, il est hors de question d’accepter toute règle incluant les évolutions de la prime de transport de Mareuil et de St Seurin.
  • Concernant l’augmentation de 20% du 1er septembre 2012, vous proposez une régularisation de 6 % (4% de rattrapage 2012 + 2% pour cette année). Nous estimons que cette proposition n’est pas satisfaisante et attendons une proposition de votre part.
  • Quant à votre proposition de revenir sur la règle d’évolution de la prime de transport des personnes en journée habitant loin et ne rentrant pas manger le midi, nous vous informons qu’il est hors de question, pour notre organisation syndicale, d’accepter une clause remettant en cause cet avantage qui s’applique depuis 1971.

Notre organisation syndicale considère, malgré tout, que cette négociation est l’opportunité de remplacer la règle actuelle de revalorisation de notre prime de transport, par une règle d’évolution régulière et plus adaptée à la réalité. En revanche, nous sommes convaincus que plus celle-ci sera simple et facile à mettre en place, plus elle aura de chance de fonctionner, en satisfaisant le plus grand nombre.

Le 5 novembre 2013, nous allons donc participer à cette 3ème réunion de négociation, avec la volonté de déboucher sur un accord. Nous espérons que cette volonté sera partagée par tous, et que vous renoncerez à vouloir intégrer d’autres sites dans une négociation qui ne concerne que notre établissement.


Compte rendu de la deuxième réunion de négociation de la prime de transport du lundi 23 septembre 2013.

Rappel des revendications du syndicat CGT de l’établissement :

  • Alors que l’abonnement des transports urbains a augmenté de 20% au 1er septembre 2012, nous considérons que la règle de revalorisation de la prime de transport doit légalement s’appliquer, et que cette prime doit augmenter de 20% à partir de cette date.
  • Nous demandons ensuite que la prime de transport soit revalorisée au 1er janvier de chaque année, de l’équivalent de l’inflation de l’année écoulée (indice INSEE).
  • Cette revalorisation sera validée par les représentants des salariés, lors de la réunion de comité d’établissement du mois de janvier de chaque année.

Ce que la Direction propose :

  • La Direction est d’accord pour appliquer chaque année un indice de revalorisation. L’indice proposé est celui de l’INSEE concernant l’évolution des coûts des transports.
  • Elle propose, en accord avec les directives de la Direction générale d’Amcor Flexibles Capsules, que l’évolution de notre prime de transport prenne en compte celles des établissements de Mareuil et de St Seurin (les primes de transport de ces deux sites sont moins avantageuses que celle de Chalon). Le but de la Direction générale étant que ces deux sites rattrapent celui de Chalon pour qu’il soit possible, ensuite, d’avoir une règle d’évolution commune aux trois sites (négociation d’un accord d’entreprise ?).
  • Les primes de transport de Mareuil et de St Seurin étant discutées lors des négociations annuelles obligatoires, les résultats de ces négociations devront déterminer l’évolution de notre prime.
    • Si les primes de ces deux sites ne sont pas revalorisées, celle de Chalon ne le sera pas non plus (même si l’indice INSEE est positif).
    • Quelque soit l’indice INSEE de l’année, la prime de Chalon ne pourra évoluer de plus de 40% maximum de l’augmentation la plus basse des deux autres sites.
    • Si l’indice INSEE concernant l’évolution du cout des transports est négatif (cela est déjà arrivé), notre prime sera quand même revalorisée, en partie, mais cette « avance » sera déduite des évolutions des autres années.
  • Pour traiter l’augmentation de 20%, qui est survenue le 1er septembre 2012, la Direction propose d’accorder une augmentation de 6 % (4% de rattrapage 2012 + 2% pour cette année). 
  • Les personnes travaillant en journée et classées en zone 4 (de 12 à 20 km) et en zone 5 (au-delà de 20 km) et ne rentrant pas manger le midi, ne bénéficieront plus que d’une revalorisation dégressive (la revalorisation ne s’appliquera plus sur la totalité de leur prime).

Voici notre réaction aux propositions de la Direction :

La CGT s’est prononcée, depuis le départ, pour une négociation permettant le remplacement de la règle de revalorisation actuelle par une règle qui permette une évolution plus régulière du montant de notre prime de transport.

Nous considérons que cette négociation ne concerne que notre établissement. D’ailleurs, lors des négociations annuelles obligatoires, quand les primes de transport sont discutées, la prime de Chalon est exclue des discussions au prétexte que nous avons notre propre règle.

Nous ne pouvons accepter de conditionner l’évolution de notre prime de transport à la capacité de négociation de nos collègues des autres sites. De plus, ces dernières années, la CGT n’a pas souhaité signer les protocoles d’accord à l’issue des négociations annuelles. Nous ne pouvons donc entériner, à Chalon, des propositions que ne refusons à Paris.

La proposition d’augmentation de la prime de 6% cette année, pour régler le problème de l’augmentation de 20% du 1er septembre 2012, n’est pas assez conséquente. Cette proposition de la Direction, doit être revalorisée.

La Direction ne doit pas modifier la règle de revalorisation de la prime des salariés en journée les plus éloignés, qui ne rentrent pas manger chez eux le midi. Cette négociation ne doit pas être utilisée pour revenir en arrière.

Dans l’état actuel des propositions de la Direction, et sans modification de celles-ci, la CGT ne pourra s’engager vers une signature.

Nous vous tiendrons informés de la suite de cette négociation.


Compte rendu de la réunion de négociation de la prime de transport du lundi 9 septembre 2013.

Règle actuelle de revalorisation de la prime de transport de notre site de Chalon :

  • La prime de transport de l’établissement est revalorisée, automatiquement, lors de chaque augmentation du prix de l’abonnement des transports urbains de Chalon sur Saône. Cette règle, qui est devenue un usage (et a donc valeur d’accord), existe depuis 1965 et s’applique encore aujourd’hui.

Ce qui a déclenché l’ouverture de cette négociation :

  • Alors qu’habituellement le prix de l’abonnement des transports urbains n’évolue que rarement, celui-ci a augmenté de 20% au 1er septembre 2012. Notre prime de transport aurait donc dû être revalorisée automatiquement de 20%.
  • La Direction estime, quant à elle, que cette augmentation ne correspond pas à une augmentation normale mais découle, pour une part importante, des travaux d’amélioration de circulation des bus engagés par la ville de Chalon. Elle refuse donc de revaloriser la prime de transport et estime même que les revalorisations supplémentaires, obtenues par les organisations syndicales lors des négociations annuelles obligatoires à Paris, ont d’une certaine manière anticipé la hausse actuelle.
  • Devant le refus de la Direction, et afin de résoudre ce conflit,  les organisations syndicales CGT et CFDT ont demandé l’ouverture d’une négociation.

Position et revendications du syndicat CGT de l’établissement :

Comme les salariés utilisent leur véhicule personnel pour aller travailler, la CGT demande depuis de nombreuses années que la règle de revalorisation de la prime de transport prenne en compte cette réalité et soit modifiée. Nous nous félicitons donc de l’ouverture de cette négociation.

  • Nous considérons que la règle de revalorisation de la prime de transport doit légalement s’appliquer, et que cette prime aurait bien du être augmentée de 20% à partir du 1er septembre 2012. Nous aurions d’ailleurs certainement gain de cause devant les tribunaux, mais préférons une négociation. Nous devons, malgré tout, obtenir une augmentation de la prime de transport de manière rétroactive, à compter du 1er septembre 2012.
  • Nous demandons ensuite que la prime de transport soit revalorisée au 1er janvier de chaque année, de l’équivalent de l’inflation de l’année écoulée (indice INSEE).
  • Cette revalorisation sera validée par les représentants des salariés, lors de la réunion de comité d’établissement du mois de janvier de chaque année.

La Direction a écouté nos demandes et fera une proposition lors de la prochaine réunion.


Prime de transport : 

Suite aux demandes des organisations syndicales CGT et CFDT, une première réunion de négocition sur les modalités  de calcul, de revalorisation et de versement de la prime de transport dans l’établissement, aura lieu le 9 septembre 2013.


Demande d’ouverture de négociations sur les modalités  de calcul, de revalorisation et de versement de la prime de transport dans l’établissement.

Voir le courrier remis à la Direction, ce 15 juillet 2013 : Demande de négociation pdf

 

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